Lecteurs / éditeurs : la course au Djeeb
Une fois que chacun se sera tenu informé des derniers développements de la crise financière qui nous navre, nous pourrons revenir à une question d’une toute autre importance : qui, des lecteurs qui se régalent (flattons-nous) des extraits en ligne ou des éditeurs à qui j’ai envoyé le manuscrit, oui qui arrivera en tête de la course au Djeeb le Chanceur ?
Pour l’instant, les lecteurs tiennent la corde.
M’est avis qu’ils vont la conserver un moment, puisqu’un nouvel extrait est disponible, en cliquant là.
Messieurs et dames les éditeurs, vous qui vous pressez en nombre sur ce blog, allez-vous laisser longtemps les anonymes jouir de l’aventure sans bourse délier, alors qu’ils pourraient assouvir leur besoin d’émotions livresques et de merveilleux stylisé en achetant cet ouvrage (et alimenter par là même le redressement de toute la chaîne du livre, pensez-y) si vous aviez la judicieuse sagacité de le publier sans attendre ? Hein ?
Mais bon, selon la formule consacrée : j’dis ça, j’dis rien…
sur 17 octobre, 2008 sur 7:08
Y a pas d’urgence pour l’éditeur, j’aime bien les feuilletons, ça me rappelle quand j’étais petit, on avait un nouvel épisode chaque semaine. Sitôt lu le dernier paru on entrait dans l’attente désirante jusqu’au prochain numéro, ça faisait partie de la vie, ouais j’aimais bien !
Toute plaisanterie mise à part, je te souhaite bonne chance !
sur 18 octobre, 2008 sur 9:19
Les éditeurs étant connus pour, bien qu’étant gens charmants, efficaces et compétents (je ne flatte qu’à bon escient), n’avoir rien de sprinters dératés, il apparaît certain que l’attente désirante du feuilleton Djeeb a de belles semaines devant elle.
Mais c’est une course de fond, et un professionnel – Zatopek grimaçant ou Mimoun sautillant – finira bien par surclasser les autres.
sur 22 octobre, 2008 sur 2:42
Don Lo, je te déteste ! 😉
Écrire vite _et_ bien, ça ne devrait pas être permis !
sur 22 octobre, 2008 sur 4:00
C’est un compliment ça, hein ? C’est un compliment ?
Alors, merci toi !